Mme Le Loch

 

n'est pas tout à fait à jour

 

 

méfaits de l'intox

 

Un quotidien national titrait dernièrement son dossier de 4 pages :

 

"Bugaled Breizh, mille milliards de bobards"

 

          Mme Le Loch semble victime de cette intox. Pourtant proche des familles des victimes, députée de la circonscription, ayant suivi le dossier dans ses multiples rebondissements, Mme Le Loch parait cependant ignorer le dernier état de la procédure. Les juges de Nantes ont en effet décidé d'en finir avec cette affaire.

 

           M. Le Drian lui-même ne semble pas connaître le jugement du 31 juillet 2008 du Tribunal de Quimper, concluant formellement à l'implication d'un sous-marin. Le rapport du BEA-mer, avec sa thèse de la "croche molle" dans le sable, bien que réfuté et démoli devant le tribunal, continue ses ravages, car il est accessible à tous sur Internet, au mépris du secret de l'instruction.

 

         On se souvient aussi de la Procureure Brigitte Lamy qui en janvier 2013, avait publié les résultats de deux investigations sur les quatre réalisées. Elle avait gardé sous silence les deux confortant la thèse du sous-marin (la possibilté pour un sous-marin nucléaire de naviguer dans des eaux d'une profondeur inférieure à 80m et la thèse de l'implication d'un sous-marin américain, études présentées par le Contre-Amiral Salles)

           Dès lors, tous les médias (à l'exception de Ouest-France, le Télégramme, le Marin et France 3, informés par nous ) avaient titré dans un bel ensemble : "la thèse du sous-marin est écartée".

 

 L'équilibre entre les droits des parties est pourtant un des fondements

 

de notre Code de Procédure pénale

 

 

 

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